Nouvelle franchise de base TVA en 2025 : Comment pivoter intelligemment ?

2025, c’est l’année où la TVA vient de drop comme une mise à jour Google… et elle risque de casser ton business model. 😱

Jusqu’ici, être en micro-entreprise, c’était un vrai cheat code : pas de TVA à facturer sous 85 000 € (commerce) ou 37 500 € (services). Mais à partir de mars 2025, tout change. Seuil unique : 25 000 €, peu importe ton activité. Résultat ? Si tu dépasses ce montant, tu dois ajouter 20 % de TVA à tes prix. Ouch.

👉 Concrètement, ça veut dire quoi ?

• Tu deviens automatiquement plus cher que ceux qui restent sous le seuil.
• Tu perds un gros avantage compétitif, surtout si tu bosses avec des particuliers.
• Ta gestion comptable se complique avec les déclarations TVA.

Bref, c’est comme si Google annonçait du jour au lendemain que 80 % de ton trafic SEO ne comptait plus. 🚨

Mais tous les changements sont aussi des opportunités. Et si tu adoptais une vraie stratégie de pivot comme un growth hacker ? Dans cet article, je vais te montrer comment transformer cette contrainte en levier pour scaler ton business. 🚀

1. Ce qui change en 2025 sur la TVA (et pourquoi c’est un game-changer) 🚨

Jusqu’ici, les micro-entrepreneurs avaient un passe-droit sympa : pas de TVA tant que tu ne dépassais pas 85 000 € (commerce) ou 37 500 € (services). Ça permettait de proposer des prix plus compétitifs et d’éviter la paperasse fiscale.

Mais à partir de mars 2025, tout le monde sera logé à la même enseigne : seuil unique à 25 000 €, TVA obligatoire au-delà.

Les conséquences immédiates 📉

👉 1. Tu dois facturer la TVA (+20 %)

Si ton offre était déjà bien positionnée, tu risques de devoir augmenter tes tarifs. Un service à 100 € HT passe à 120 € TTC. Résultat : si tes clients sont des particuliers, ils verront une hausse brutale des prix.

👉 2. Bye bye l’avantage compétitif

Un concurrent qui reste sous les 25 000 € pourra continuer à vendre sans TVA et donc moins cher que toi. Si tu bosses en B2C, ça peut faire mal.

👉 3. Plus de compta, plus de paperasse 📊

Fini la simplicité de la micro-entreprise où tu déclarais juste ton chiffre d’affaires. Maintenant, il faudra gérer la TVA :

✅ Ajouter la TVA à tes factures

✅ Faire des déclarations périodiques (mensuelles ou trimestrielles)

✅ Réclamer la TVA récupérable si tu as des dépenses pro

Pourquoi c’est comme une update Google qui te plombe ton trafic ?

C’est simple : du jour au lendemain, tes conditions de jeu changent, et si tu ne réagis pas, tu perds du terrain. Comme une mise à jour SEO qui pénalise ton site, cette réforme peut :

• T’obliger à revoir ton pricing pour absorber la TVA.
• T’exclure d’un marché ultra-concurrentiel où les petits concurrents restent sous le seuil.
• Te forcer à changer de stratégie pour continuer à croître sans être bridé par ces nouvelles règles.

Mais comme en SEO, ceux qui s’adaptent le plus vite en sortent plus forts. 🚀 Et c’est justement ce qu’on va voir dans la suite : comment pivoter intelligemment pour tirer parti de cette nouvelle donne.

2. Comment pivoter intelligemment pour rester rentable ? 🔄

OK, la TVA débarque dans ton business… mais plutôt que de subir, autant utiliser cette contrainte comme un levier. Un vrai growth hacker ne se plaint pas, il optimise et pivote. 🚀

Voici 3 stratégies concrètes pour absorber le choc et continuer à scaler malgré ce nouveau seuil.

1️⃣ Repositionne ton offre pour vendre à des pros (B2B) 👔

Si tes clients sont des entreprises, la TVA est un faux problème. Pourquoi ? Parce qu’une entreprise peut récupérer la TVA. En clair, si ton service coûte 100 € HT, une boîte ne voit que ça.

👉 Action concrète :

• Cible plus de clients B2B avec une offre adaptée.
• Utilise LinkedIn & le cold emailing pour toucher des entreprises plutôt que des particuliers.
• Valorise ton expertise : les pros sont moins sensibles au prix qu’un particulier, ils cherchent avant tout du résultat.

2️⃣ Passe du service à l’abonnement 📦

Les gros business ne se construisent pas sur du one-shot. En passant à un modèle récurrent, tu lisses ton chiffre d’affaires et tu peux absorber plus facilement la TVA.

👉 Action concrète :

• Transforme tes prestations en abonnement (ex : SEO → abonnement mensuel, création graphique → pack illimité).
• Ajoute un service premium avec un suivi, du coaching, ou un support prioritaire.
• Augmente la valeur perçue pour justifier ton prix TTC plus élevé.

3️⃣ Dépense plus pour récupérer la TVA 🔄

Facturer la TVA, c’est chiant… mais ça a un avantage : tu peux aussi récupérer celle que tu payes sur tes dépenses pro. Conclusion : plus tu investis, plus tu optimises tes coûts.

👉 Action concrète :

• Investis dans des outils payants (publicité, logiciels, matériel…) pour récupérer la TVA.
• Délègue certaines tâches (rédaction, design, ads…) en sous-traitance.
• Structure tes dépenses pour optimiser tes charges.

💡 Moralité : Ne subis pas, optimise !

Si tu appliques ces stratégies, tu ne seras pas juste “un micro-entrepreneur qui doit ajouter 20 % à ses prix”. Tu seras un entrepreneur qui a su pivoter et exploser son chiffre d’affaires malgré les contraintes.

Et en bonus, tu dépasseras vite les 25 000 €… et c’est bien le but, non ? 🚀

3. Quand et comment changer de statut pour aller encore plus loin ? 🚀

Si tu appliques les stratégies précédentes, tu risques de dépasser rapidement les 25 000 €. Et là, la vraie question se pose : dois-tu quitter la micro-entreprise ?

1️⃣ Quand est-ce que ça vaut le coup de changer de statut ?

Changer de statut peut être un level up, mais pas dans tous les cas. Voici les 3 signaux qui indiquent que c’est le bon moment :

Tu dépasses les 50 000 € de CA par an
👉 À ce niveau, les charges de la micro-entreprise commencent à peser lourd, et tu pourrais payer moins d’impôts en entreprise individuelle (EI) ou en société (SASU, EURL).

Tu fais beaucoup d’achats et d’investissements
👉 En micro, tu ne peux pas déduire tes dépenses (matériel, outils, sous-traitance…). En passant en société, tout devient déductible et tu optimises tes marges.

Tu veux donner une image plus “pro” et sécuriser ton patrimoine
👉 Une micro-entreprise, c’est bien pour démarrer, mais une société te crédibilise auprès des grosses boîtes et sépare ton argent perso de celui du business.

2️⃣ Quel statut choisir pour scaler ton business ?

Option 1 : L’entreprise individuelle (EI) au réel simplifié

1. Idéal si tu veux rester solo mais payer moins de charges.
2. Permet de déduire tes frais pros (pub, logiciels, matériel…).
3. Comptabilité plus lourde qu’une micro, mais toujours gérable.

Option 2 : La SASU ou l’EURL (société unipersonnelle)

1. Permet d’avoir un vrai statut de dirigeant et d’attirer des gros clients.
2. Possibilité de te verser un salaire et des dividendes (optimisation fiscale).
3. Parfait si tu veux embaucher ou lever des fonds plus tard.

3️⃣ Comment bien gérer la transition ? 🔄

Si tu es prêt à passer à la vitesse supérieure, voici les étapes pour changer de statut sans galérer :

Anticipe ton passage au-delà des 25 000 €

✅ Mets déjà en place une comptabilité propre.

✅ Évite d’attendre le dernier moment pour changer de statut.

Fais-toi accompagner

✅ Un expert-comptable peut te faire économiser un max en optimisant ton statut fiscal.

✅ Certains outils comme Indy ou Tiime simplifient ta gestion si tu veux le faire seul.

Optimise ta transition pour ne pas perdre de revenus

✅ Monte progressivement tes prix avant le passage à la TVA.

✅ Informe tes clients et montre-leur la valeur ajoutée derrière la hausse de prix.

Conclusion : Reste dans le game et scale intelligemment avec la TVA

La réforme de la TVA pour les micro-entrepreneurs est un gros changement, mais au lieu de la subir, profite-en pour structurer ton business et passer à la vitesse supérieure. 🚀

👉 Si tu restes sous 25 000 €, adapte ton offre et cible le B2B.

👉 Si tu dépasses les 50 000 €, réfléchis à changer de statut pour payer moins de charges et scaler plus vite.